mardi 1 février 2011

28-IX-2004 L'arrivée à Sarria

XIe Semaine
Mardi le 28/IX/2004:

une petite église, crois-je - Sarria

3 commentaires:

  1. Je me réveillais auprès de la petite église. Il peut s'agir de San Xil, car ainsi j'avais divisé l'étape. Il faisait frais et j'avais envie de rester dans le sac de couchage. Je crois que je faisais le signe de la croix et des prières avant de me lever finalement, et la faim aidait.

    Je trouvais des gens assez sympas après quelque temps, dont je ne me souviens plus.

    Vers midi je me trouvais à une halte, dont j'ai oublié le nom. Les deux occasions j'avais de quoi manger un peu et de quoi boire de manière que je pouvais continuer.

    Une fois à Sarria, je trouve assez vite l'auberge.

    Ça peut avoir été ce soir ou le lendemain que je vis un troupeau de brebis ou de chèvres passer à travers la ville. C'était ce soir qu'à la ville je trouvais quelques pélérines sympas qui faisaient le chemin depuis la frontière de Galice, pour faire les cent kilomètres, mais pas un centimètre plus loin (elles vivaient trop proche de Compostèle pour faire un pélérinage avec l'indulgence prévue sans reculer pour le faire d'un peu plus loin).

    Elles n'étaient pas dévotes, je gardais ensuite le contact quelque temps, on se donnait les courriels, et j'ai eu des blagues sur George W. Bush fils et d'autres encore qui circulaient par le web à travers une des pélérines rencontrées ce soir à Sarria.

    Dans la chambre il y avait une Japonaise. Je pensais très vite au bondage, dont j'avais eu un interêt pervers les années avant ou surtout l'année assez stressée de la reprise d'études, ensuite je me ravisai et la considérais plus belle libre. Elle avait aussi une grande dignité.

    Que ça soit par les pélérines de Galice ou que ça soit dans l'auberge, j'ai eu à manger le soir avant de m'endormir.

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  2. Et non, la halte du midi dont je pensais était Cantina da Serra, ce qui est pour le lendemain.

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